février 2020

SAUT EN LONGUEUR

SAUT EN LONGUEUR

SAUT en longueur

Le saut en longueur

Définition de l'activité

Activité de bondissement qui consiste en une auto-projection du corps dans l'espace afin de franchir la plus grande distance possible à partir d'un appel 1 pied en deçà d'une ligne d'appel. L'activité peut donc se caractériser comme une liaison course d'élan – impulsion vers l'avant et le haut, l'appel se faisant sur un pied en deçà d'une ligne d'appel dont l'objectif est de projeter son corps le plus loin possible.

   Historique
Le saut en longueur est dans certaines parties du monde associé au saut d’un kangourou, mais l’être humain ne possède pas les mêmes facultés que cet animal et pourtant, il se défend bien dans cette discipline.
Ce sport est une épreuve d’athlétisme dont la particularité est de pouvoir parcourir la plus grande distance par le biais d’un saut avec élan ou sans, mais toujours en partant d’une ligne précise afin que tous les participants puissent être au même niveau.
Cette discipline est pratiquée depuis des siècles déjà, saviez-vous que le saut en longueur était déjà inscrit aux Jeux olympiques antiques (seuls les représentants des différentes cités grecques pouvaient y participer) au 8eme siècle avant J.C.
L’homme de tout temps à eu recours à cette pratique, depuis les temps préhistoriques, ne serait pour pouvoir s’échapper parcourir une distance faite d’obstacle, sauter une rivière et j’en passe.
Les records du monde
L'activité saut en longueur est une activité qui repose pour beaucoup sur les qualités de
vitesse du sauteur. Le record du monde en subit les conséquences, puisque l'évolution
des meilleures performances mondiales se fait relativement lentement :

HOMME
- 7,05m par J. LANE en 1874 
- 8,13m par J. OWENS en 1935
- 8,90m, le saut "historique" de B. BEAMON en 1968
- Record du monde actuel : 8,95m par M. POWELL en 1991
FEMME
-la Russe Galina CHISTYAKOVA avec une distance de 7,52 mètre

Règlement

1.   Le sautoir :
La piste d'élan aura une largeur minimum de 1,22m. La longueur de la course d'élan sera
illimitée. La longueur minimum à prévoir sera de 40 mètres. La tolérance maximale pour
l'inclinaison latérale des pistes ne devra pas dépasser 1/100 et l'inclinaison descendante
globale dans le sens de la course ne devra pas dépasser 1/1000.
La planche d'appel sera faite de bois ou de tout autre matériau approprié et mesurera
1,21 – 1,22m de long, 198 – 202 mm de large et 100 mm d'épaisseur. Elle sera peinte
en blanc.

La planche de plasticine (qui sert à vérifier si le saut est mordu).  Celle-ci consistera
en une planche rigide, d'une largeur de 98 à 102 mm et d'une longueur de 1,21 à 1,22 m
qui sera garnie à sa partie supérieure d'une couche de plasticine ou de tout autre matériau approprié. La face supérieure de cette couche s'élèvera, dans la direction de la course, selon un angle de 30° depuis le niveau de la planche d'appel pour atteindre une hauteur  maximum de 7 mm, par rapport à ce niveau. La couche de plasticine pourra être aplanie à l'aide d'un rouleau ou d'un grattoir approprié, afin d'effacer les empreintes faites pas les pieds des concurrents.
La zone de chute devra mesurer au moins 2,75 m de largeur et la piste d'élan devra, si possible, être placée de manière telle que son axe prolonge celui de la zone de chute.

1.     La mesure d'un saut

"Tous les sauts seront mesurés à partir de la marque la plus proche dans la zone de chute par une partie quelconque du corps ou des membres jusqu'à la ligne d'appel ou son prolongement, et perpendiculairement à cette ligne."
"Afin d'assurer un mesurage correct de chaque saut, il est essentiel que la surface du sable dans la zone de chute soit contrôlée correctement, en ce qui concerne son niveau avec la planche d'appel."

Cas particulier de mesure ou d'annulation du saut :

a) le sauteur a pris son appel sur la planche d'appel, mais retombe en dehors du prolongement de la piste d'élan tout en restant dans les limites de la zone de chute. La planche d'appel est prolongée latéralement et la mesure est prise perpendiculairement à cette ligne en suivant les règles habituelles

b) Le sauteur s'est élevé avant d'atteindre la planche d'appel. A partir du moment où la réception se fait dans la zone de chute, la mesure est effectuée mais à partir de la planche d'appel et non du point de départ du saut.

c) Le sauteur retombe dans la zone comprise entre la planche d'appel et la zone de chute (cas plus fréquent en triple-saut). Le saut est considéré comme non-valable

d) Lors de la réception, une partie du corps du sauteur touche en dehors de la zone de chute, plus près de la ligne d'appel que la marque laissée dans la zone de chute. Le saut est "manqué".

e) Même cas, mais la partie du corps touche plus loin que l'endroit de chute. Le saut est mesuré suivant le cas a)

f) Après la réception dans la zone de chute, le sauteur revient en arrière à l'intérieur de celle-ci. Le saut est "manqué".

g) Le sauteur prend son appel à l'extérieur de la piste d'élan à côté de la planche
d'appel. Le saut est "manqué".

Analyse technique

Le saut en longueur se constitue autour des trois phases classiques des sauts athlétiques
1) La course d'élan
2) La préparation à l'appel et l'appel
3) La phase aérienne

I.        La course d'élan

a-Longueur
En moyenne, elle comprend pour les meilleurs sauteurs et sauteuses entre 19 et 23 foulées ce qui correspond à plus de 40 mètres pour les hommes et 35 mètres pour les femmes. On constate que la longueur de la foulée en saut en longueur est plus importante qu'en course de vitesse.
b-Vitesse
Généralement, deux phases se succèdent : une liée au gain de vitesse (accélération)caractérisée par un axe du corps orienté vers l'avant et une recherche de vitesse, l'autre,qui lui succède, orientée par la recherche de l'attitude préparatoire au saut et au maintien de la vitesse acquise (les 6 à 8 dernières foulées).
c-Précision
Le seul fait de poser le pied au plus près de la ligne d'appel n'est pas l'objectif du sauteur. Si le sauteur pour ce faire, doit perdre de la vitesse ou piétiner à l'approche de la ligne d'appel, s'il est obligé de fixer le regard sur la planche et de créer, en conséquence une flexion dorsale, la précision obtenue ira à l'encontre des objectifs recherchés. Cette précision s'obtient donc sans nuire aux autres secteurs du saut. Le travail de répétition de la course et l'éventuelle adjonction de marques de passage intermédiaires semblaient jusqu'à maintenant un élément essentiel pour obtenir cette précision. Certains points sont maintenant soumis à la critique scientifique.
d-Attitude
L'attitude de course en saut en longueur se particularise de celle de vitesse tout en en gardant un certain nombre de caractéristiques :
_ Le bassin est très haut placé
 – le passage du bassin au-dessus de l'appui se fait jambe quasiment tendue et sur l'avant-pied afin de favoriser le maintien de la vitesse et de préparer le placement à l'appel
 – les genoux sont hauts et le cycle jambe de la foulée est un cycle antérieur
- Les bras sont relâchés et participent à l'équilibre général
- Le regard est horizontal.

La préparation à l'appel

Afin de produire une élévation lors de l'appel, on constate de la même manière qu'au Fosbury une recherche d'abaissement du CG. Sur l'avant-dernier appui. Cet abaissement doit cependant, en aucun cas, provoquer des ruptures dans le déplacement horizontal du sauteur
 – il s'inscrit dans la course, modifiant son aspect (foulée dite "boiteuse") mais pas la vitesse de déplacement. L'exécution juste de cette phase est un élément essentiel de la performance.
L'appel
La position du sauteur au moment précis où il touche la planche d'appel est une position
caractéristique :
• Le pied, est posé dans l'axe d'élan, soit à plat, soit avec une légère prédominance avant-pied, mais avec une prise d'avance significative.
• La jambe d'appel est presque complètement tendue et très oblique vers l'avant. Elle est posée activement par un petit mouvement qui l'a rabattue d'avant vers l'arrière(le griffé). Ce rabattement a pour objectif de diminuer l'effet de blocage sur la planche et donc de minimiser la perte de vitesse
• Le buste s'incline vers l'arrière, d'autant plus de la préparation à l'appel a été négociée sans heurt,
• La jambe libre est fléchie et à la traîne, l'écart entre les deux cuisses – le compas –est plus grand que dans la course d'élan.Pendant que le grand axe pivote autour du pied d'appel, le sauteur va chercher à se relever vers l'avant et vers le haut. Le bassin continue a progressé vers l'avant et même à monter sur une courbe à pente douce. Cette première phase d'appel se termine lors du
passage du CG. Au-dessus de l'appui. La 2ème phase d'appel se situe au-delà du passage du CG.
à la verticale du pied d'appel :
- le bassin poursuit son mouvement vers l'avant, mais il monte sur une pente plus raide
- le tronc résiste à la poussée ; il ne casse pas au niveau des hanches. Les segments libres jouent un rôle important dans l'absence de cassure en allégeant le corps parleur trajet et leur blocage.
- La jambe libre pointe vers l'avant et le haut par le genou
- La rotation longitudinale du bassin occasionnée par le lancer de jambe libre est compensé par une rotation inverse au niveau des épaules initiée par le bras opposé(main qui pointe devant l'œil comme pour regarder sa montre).

La phase aérienne et la réception

La phase aérienne se constitue dans deux temps d'action successifs :
 L’extension et le ramené.
L'extension – ou le pédalage qu'offrent certains sauteurs – a but fonction de minimiser la vitesse de rotation avant qui apparaît mécaniquement lors de l'appel. Celle-ci, si elle n'était pas contrôlée amènerait le sauteur à "piquer du nez" lors de la phase aérienne et le mettrait dans de mauvaises conditions pour effectuer le ramené.
Le ramené s'effectue relativement tardivement dans la trajectoire. Son objectif est de
"refaire" apparaître de la vitesse de rotation avant afin de permettre au sauteur de retomber au niveau de ses pieds et non en arrière comme l'absence de ramené le produirait.
Les deux phases font intervenir le même principe mécanique de conservation du moment cinétique (produit du moment d'inertie par la vitesse de rotation / axe défini). Dès que les auteur se retrouve en phase aérienne, et du fait qu'aucune aide extérieure peut lui être apportée, le moment cinétique sera constant. En étudiant les deux termes du produit, sil'un augmente, l'autre diminue et inversement. Ainsi, en augmentant le moment d'inertie(éloignement de masse / C G), la vitesse de rotation diminue, c'est la justification des opérations de la première phase. Plus le moment est faible, plus la vitesse augmente,c'est le principe de la 2ème.

Le saut en longueur

Le saut en longueur

Le saut en longueur

DÉFINITION ET LOGIQUE INTERNE

Le saut en longueur consiste à franchir la plus longue distance en  un seul bond après une course d’élan, une prise d’appel sur une  marque (planche) et une réception dans une fosse.

PRINCIPES ET REGLES D'ACTION

1/ la course d’élan :

- doit être progressivement accélérée
- le rythme d’appuis s’accélère, les appuis brefs en fin de course
- la course doit être relâchée
- la vitesse optimale, obtenue dans les 3 dernières foulées

+ L’avant dernier appui :
- c’est un des points clés du saut en longueur. Il faut monter vers  lavant mais loin

- un abaissement plus au moins grand de centre de gravité sur  lavant dernier appui

+ La dernière foulée :
- elle plus courte que lavant dernière foulée
- elle est la conséquence d’un abaissement de C.G sur lavant  dernier appui avec un rythme parfais sur les 3 derniers appuis

2/ l’impulsion :

Si la course d’élan est correcte, il évitera l’impulsion en piston.
+ Le griffe : la pied d’appel posé en avant du bassin dans l’axe de  la course dans un mouvement de griffée. Le pied d’appel se rabat  sur la planche dans un mouvement très rapide et rasant.
+ La poussée : l’athlète doit avoir l’impression d’être catapulté
vers l’avant puis de prolonger la poussée en suspension.

3/ la suspension :

En longueur c’est la phase du grandissement

4/ la chute :

Le plus loin possible par une extension des jambes dur les cuisses

PROBLÈME FONDAMENTAL

Dans la pratique du saut en longueur, le problème fondamental et  l’établissement dune relation entra la course d’élan et l’impulsion.

ENJEU DE FORMATION

+ Dans le domaine moteur : 
- développer la capacité de la perception du corps dans l’espace  et le temps
- développer des capacités organiques
- développer des capacités de maîtrise des déplacements
-  développement de l’équilibre général, coordination général et la vitesse de réaction

+ Dans le domaine cognitif :
-  développer la connaissance de vocabulaire en rapport avec le  corps humain, les termes proposés         au  saut ainsi que le  règlement relatif a l’activité.

+ Dans le domaine socio affectif :
- confiance en soit, prise de l’initiative et la maîtrise
émotionnelle.

l'air de jeu 
l'air de jeu
 comment mesurer les performances 
comment mesurer les performances

Les bonnes chutes 

Les bonnes chutes

Badminton بقلم عثمان عزوز و محمد أمسكال

Badminton  بقلم عثمان عزوز و محمد أمسكال

Badminton

Définition de badminton 

Le badminton Écouter est un sport de raquette qui oppose soit deux joueurs (simples), soit deux paires (doubles), placés dans deux demi-terrains séparés par un filet. Les joueurs, appelés Badistes, marquent des points en frappant un volant à l'aide d'une raquette afin de le faire tomber dans le terrain adverse. L'échange se termine dès que le volant touche le sol ou reste accroché dans le filet.
Le volant est un projectile aux propriétés aérodynamiques uniques qui lui donnent une trajectoire très différente des balles utilisées dans la plupart des sports de raquette. En particulier, les plumes créent une traînée bien plus importante, causant une décélération plus rapide. Le vent ayant beaucoup d'influence sur cette trajectoire, car la masse d'un volant est généralement d'environ 5 grammes, le badminton est toujours pratiqué en intérieur.

L’histoire de Badminton  (pratique)

Depuis 1992, le badminton est un sport olympique qui se décline en 5 disciplines : simple hommes, simple dames, double hommes, double dames et double mixte.À haut niveau, il nécessite une excellente condition physique ainsi que de très bonnes qualités techniques et tactiques.C'est le sport de raquette le plus rapide du monde, il est fréquent de voir une douzaine d'échanges en double en moins de 10 secondes. Le record de vitesse pour un volant en compétition est depuis le 11 janvier 2017 par MadsPieler Kolding, joueur danois de double hommes, qui a frappé le volant à la vitesse détenu de 426 km/h. Le Malaisien Tan Boon Heong, également joueur de double hommes, a, pour sa part, propulsé un volant à 493 km/h en sortie de raquette en conditions optimales, établissant ainsi le record Guinness actuel, battant ainsi l'ancien record de 421 km/h qu'il avait également établi.




Définition de Tir à L'arc [ Ameskal Mohamed & Othman Azzouz]

Définition de Tir à L'arc   [ Ameskal  Mohamed & Othman Azzouz]

Définition de Tir à L'arc

Définition de Tir à L'arc         

    Le tir à l'arc est un sport de précision et de concentration dans lequel les compétiteurs tentent de tirer leurs flèches au centre d'une cible avec leur arc. Historiquement, le tir à l'arc a été utilisé pour la chasse et le combat, tandis que dans les temps modernes, son utilisation principale est celle d'une activité sportive. Une personne qui pratique le tir à l'arc est appelée un archer.........

Le tir à l'arc est un sport olympique. Lors des compétitions, hommes et femmes sont séparés

L’histoire de tir à l’arc

Pendant 10 000 ans au moins, le tir à l'arc était pratiqué pour chasser ou faire la guerre. 
Vers 1500, devient alors un loisir puis un sport à part entière. 
L'une des premières compétitions se déroule en 1583, en Angleterre, avec l'arrivée de l'arquebuse entraîne une disparition progressive de l'utilisation guerrière de l'arc. 
Le tir à l'arc plus de 3 000 participants. À partir du xixe siècle on tire à l'arc pour le loisir, bien que l’utilisation pour la chasse ne disparaisse pas complètement.
 La chasse à l'arc est maintenant redevenue populaire au Canada.
 Les compétitions de tir à l'arc faisaient déjà partie des Jeux olympiques de 1900, 1904, 1908 et 1920 puis, après une longue interruption, le tir à l'arc y fut réintroduit en 1972.

Les règles du handball

RÈGLEMENT HAND-BALL 
But du jeu* marquer des buts.* empêcher l’adverse d'en marquer   
Terrain


Spécificité par rapport aux autres sports collectifs :

• Cible verticale protégée par un gardien et une zone interdite.
• Manipulation du ballon limitée (marcher, dribble)
• Tenue du ballon à une main.
• Ballon imprenable par le défenseur  mais temps limité pour le donner.

LE BALLON

Garçons plus de 16 ans :                                                          Taille 3
Filles plus de 16 ans et garçons 14 à 16 ans :                         Taille 2
Filles 8 à 14 ans et garçons 8 à 12 ans :                                 Taille 1
Moins de 8 ans :                                                           Taille 0 

LE TEMPS DE JEU

* plus de 16 ans 2 mi-temps de 30 minutes
* De 12 à 16 ans 2 mi-temps de 25 minutes
* De 8 à 12 ans 2 mi-temps de 20 minutes

En images 




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1. Aspects fondamentaux de l’activité

A. Définition

Sport collectif où 2 équipes numériquement équilibrées, évoluant dans un espace délimité, s’affrontent directement par l’intermédiaire d’un ballon, manipulable à une main, pour aller marquer, dans une cible verticale gardée et située dans une zone interdite, et pour en protéger une autre, et ce, dans le respect du règlement.

B. Aspects fondamentaux

  1.  La marque se fait dans une cible verticale gardée et située dans une zone interdite.
  2.  2 équipes évoluent dans un même espace.
  3.  Le ballon est manipulable à une main, et peut être dribblé, passé et tiré.
  4.  Le déplacement avec ballon porté est limité.
  5.  La charge sur l’adversaire (corps faisant obstacle) est limitée.

C. Conditions de pratique

Des terrains nettement délimités. Un terrain de handball (20 X 40 m) peut être divisé en trois terrains de 12 m sur 20 m avec zone de but à 4 m du but.  



D. Les règles du jeu

Les règles fondamentales sont celles du handball mais avec un souci d’adaptation aux capacités des
enfants. Elles évolueront d’une interprétation très large vers une application plus rigoureuse.
  1. Les joueurs 4 joueurs de champ, 1 gardien de but et des remplaçants dont le nombre est à déterminer d'un commun accord. Tous les enfants devraient jouer une durée égale.  Les remplacements se font à n'importe quel moment (y compris pour le gardien de but) dès que le joueur à remplacer a quitté le terrain.
  2.  Le gardien de but Libre de ses mouvements dans la surface de but, il peut participer au jeu hors d'elle (soumis à ce moment aux règles des joueurs de champ), mais ne peut ramener le ballon dans sa zone.
  3.  Le joueur de champet le ballon :Il ne peut pas :
    - le garder plus de 3 secondes.
    - faire plus de 3 pas, balle en main.
    - le passer à son gardien de but quand celui-ci est dans sa surface.
    Il peut : - progresser avec la balle en faisant rebondir la balle au sol (dribbler), et effectuer une passe à un partenaire ou tirer au but.
  4.  Le joueur de champ … et le terrain :Il n'a pas le droit de pénétrer dans la surface de but sauf en suspension. A l'atterrissage le ballon doit être lâché des mains.
  5.  Le joueur de champ … et l'adversaire :Aucune brutalité n'est permise : pas d'accrochage, pas de ceinturage, pas de « poussette ».
  6.  L'engagement :Il se fait au milieu du terrain au début de chaque période et par le gardien dans sa surface de but après un but.  
  7.  Remise en jeu :  - Lorsque le ballon franchit la ligne de côté (ligne de touche), la remise en jeu se fait sur cette ligne.- Lorsque le ballon franchit la ligne de fond (ligne de but), la remise en jeu se fait par le gardien de but sauf si le ballon a été touché par un coéquipier du gardien (corner).
  8. Sanctions :- Toute faute est sanctionnée par un jet franc à l'endroit de la faute, à 2 mètres de la surface de but si nécessaire, l'adversaire étant obligatoirement à 2 mètres.- Toute faute grossière à proximité de la surface de but est sanctionnée par un jet à 5 mètres
    (
    penalty) sans empiéter sur la surface de but.
  9.  Exclusion :Il doit s'agir d'un cas extrême. 30 secondes d'exclusion sont prononcées en cas de brutalité volontaire, de jeu dangereux, de manque de respect à l'arbitre ou à tout autre participant au jeu.  

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